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Non à l’automatisation des métiers de l’art – 2
Le STAA poursuit son travail de réfléxion sur l’automatisation des métiers de l’art dans un nouveau texte sur les arts graphiques.
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Écoles d’art et design en danger, mobilisons-nous !
Nous, syndicats et collectifs en lutte pour la défense des écoles d’art, alertons notre communauté, nos ami·es, nos collègues, nos partenaires, et interpellons vivement les directions et tutelles de nos établissements.
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Non à l’automatisation des métiers de l’art – 1
Le STAA initie sa réflexion critique sur l’automatisation des métiers de l’art à partir de la place prise par la traduction automatique, et l’intelligence dite artificielle, dans le quotidien des traducteurs et des traductrices.
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L’abaissement des seuils : une régression sociale, vraiment ?
Plusieurs syndicats voient l’abaissement du seuil d’ouverture des droits aux indemnités journalières, maternité, invalidité et décès – et avec lui l’abaissement de l’assiette sociale forfaitaire permettant de surcotiser à hauteur de 900 heures SMIC – comme une « régression sociale inédite ». Nous affirmons l’inverse !
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Pour en finir avec la logique de l’aide et garantir un droit à la continuité du revenu aux travailleur·euses de l’art
Outre un accès facilité aux droits actuels et un début de reconnaissance des accidents du travail et maladies professionnelles, la grande nouveauté de notre proposition est la création d’une assurance chômage conçue comme un droit à la continuité du revenu.
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Ne «soutenons» pas les artistes, rémunérons les travailleuses et travailleurs de l’art !
Afin de « faire sortir les travailleur·euses de l’art de la précarité et de la dépendance à des dispositifs de soutien », quatre collectifs et syndicats proposent un ensemble de mesures concrètes, dont l’obtention d’un statut qui reconnaisse le travail dans toutes ses dimensions.
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Au festival International de la BD d’Angoulême, comme ailleurs, nous refusons d’être payé·es en visibilité
Le Festival International de la BD d’Angoulême, temps fort de la BD en France, est malheureusement une fois de plus l’occasion d’une mauvaise pratique de non-respect des droits des auteur·ices.